Presse

Les dimanches du conte dÉmÉnagent dans le vieux

«La fermeture du bar Le Sergent recruteur … ne marquera pas pour autant la fin des Dimanches du conte. Jean-Marc Massie et sa gang ont trouvé à se reloger in extremis au Cabaret du Roy, un estaminet tenu par un autre conteux, Martin Gauthier, dans le Vieux-Montréal (…) Le Sergent a permis au conte de décoller à Montréal. Il a été un des bastion du renouveau du conte. …»

Le Plateau, 27 Janvier 2009

Les dimanches du conte dÉmÉnagent

«La petite salle du Sergent recruteur aura connu des moments inoubliables et contribué à la notoriété de plusieurs conteurs. La première soirée fut consacrée à Raoul Duguay. Fred Pellerin est revenu trois reprises, remplissant la salle à craquer.»

Le VM, 26 janvier 2009

Fermeture du sergent recruteur

«La fin de l’aventure laisse notamment dans le deuil les amateurs des soirées de contes hebdomadaires, qui s’y tenaient depuis plus de 10 ans. Les soirées de contes déménageront maintenant au Cabaret du Roy, dans le Vieux-Montréal.»

Caroline Montpetit, Le Devoir, 19 janvier 2009

MontrÉal vu par jean-marc massie

«Le créateur des Dimanches du conte n’hésite pas à ouvrir la porte à d’autres univers, comme celui de Nathalie Derome, artiste inclassable (…) Pol Pelletier, femme de théâtre engagé, Mathieu Lippé, chanteur et slammeur, ou encore Simon Gauthier, véritable bédéiste de la parole.»

Caroline Le Hirez, Le Plateau, 29 août 2008

Le grand retour du conte

«Chaque dimanche soir, depuis dix ans, un conteur s’amène à la brasserie Le Sergent Recruteur (…) La grand messe fait compétition à Tout le monde en parle …»

Isabelle Maher, Le journal de Montréal, 15 janvier 2008

Une incroyable odyssÉe par le conte

«Dans L’incroyable odyssée du Sergent recruteur, une pièce des Productions du Diable Vert, les trois conteurs présentent avec panache l’étrange destin d’un Sergent recruteur inspiré de faits historiques réels (…) Certains journalistes montréalais ont louangé sans retenue la bande du Diable Vert, qui a su dépoussiérer et actualiser le conte pour lui donner un regain de vie.»

Alain Bérubé, Le guide (Dunham), 15 décembre 2006

Festival

«Et cette année, à Trois-Pistoles, un autre infernal trio, celui de Jean-Marc Massie, d’André Lemelin et de François Lavallée, racontera la formidable histoire du Sergent Recruteur, ce haut-lieu du conte de Montréal des dernières années.»

Caroline Montpetit, Le Devoir ( L’Agenda), 30 septembre 2006

Ce soir on conte

«Il était une fois un petit bar branchouille du Mile-End comme tous les autres. Puis un jour, deux jeunes conteurs, Jean-Marc Massie et André Lemelin eurent l’idée d’en faire un lieu de diffusion pour leur art. Depuis leur instauration en 1998, ces «Dimanches du conte» à la microbrasserie du Sergent Recruteur ne cessent de croître en popularité.»

Marie-Élaine Larochelle, The link (Université Concordia), 13 septembre 2006

Mots en scène

«Lemelin est d’ailleurs à l’origine de plusieurs activités liées à l’oralité et au conte. Avec Jean-Marc Massie, fidèle équipier à la barre, il a créé les Dimanches du conte à la brasserie le Sergent recruteur, qui se tiennent chaque semaine devant une salle pleine depuis huit ans maintenant»

Stéphane Despatie, Entre les lignes, hiver 2006

Où en est le renouveau du conte ?

«Au Québec, le renouveau s’est institué avec «Les dimanches du conte», au bar Le Sergent Recruteur en août 1998. Le Sergent est reconnu jusqu’en France»

Sébastien Lavoie, Lettres québécoises, hiver 2006

Un sergent qui recrute bien des disciples

«La Raconteuse, c’est une des bières blondes que Dany Couture, le brasseur, continue à réaliser (…) Le Sergent recruteur est une entité unique. En plus, tous les dimanches, on aime à se raconter des histoires. Ici, la Raconteuse ne pouvait pas être plus à son aise.»

Philippe Mollé, Le Devoir, 12-13 novembre 2005

8 e saison des dimanches du conte

«Petit regroupement d’initiés lors de leur création, en 1998, les Dimanches du conte font désormais partie des happenings incontournables de la vie montréalaise et sont, de l’avis de plusieurs, la pierre d’assise de l’engouement pour le conte observé un peu partout au Québec depuis quelques années.»

Tristan Malavoy-Racine, Voir Montréal, 8 septembre 2005

Les dimanches du conte tournent

« Pour une deuxième année consécutive, un groupe de trois conteurs de la première vague du Sergent recruteur (1998-2000), composé de Jean-Marc Massie , André Lemelin et François Lavallée, partiront cet automne en tournée au Québec pour présenter « Le Cabaret des Dimanches du conte ». Depuis 1998, les conteurs du Sergent recruteur ont fait des Dimanches du conte un des happenings hebdomadaires les plus courus en ville. »

L’aut’journal, septembre 2005

Les livres parlants de planète rebelle

«Marie-Fleurette Beaudoin insiste sur la révolution que la parole vivante a déclenchée dans le milieu de l’édition : Nos livres se prolongent nécessairement dans les récitals, les festivals … Les Dimanches du conte qui se tiennent au Sergent recruteur reflètent l’esprit qui nous anime. »

Michel Lapierre, Ici (Montréal), 4 août 2005

Vivement dimanche au sergent recruteur !

«On présentera le 11 septembre, pour la soirée d’ouverture, la dernière mouture du Cabaret des Dimanches du conte intitulée L’Incroyable odyssée du Sergent recruteur avec les conteurs François Lavallée, André Lemelin et Jean-Marc Massie … Ces conteurs ont tous la langue bien pendue et plusieurs d’entre-eux possèdent des réputations bien établies.»

Manon Guilbert, Le journal de Montréal, 27 août 2005

Un choix contes

«Bonne nouvelle pour les amateurs de contes âgés de 18 ans et plus : les Dimanches du conte ont réintégré la microbrasserie Le Sergent recruteur (…) Au programme, toujours de la bière, des pizzas, plus d’espace et de sièges et surtout une nouvelle formule : le «Conteur du mois» (…) le visage du conteur du mois sera d’ailleurs moulé en plâtre et exposé sur place, des fois que ça pourrait partir une légende … Le mois de mai est consacré au conteur Mathieu Lippé.».

Marie-Christine Blais, La Presse, 12 mai 2005

Conteur du mois

«Les Dimanches du conte sont de retour à la nouvelle adresse du Sergent recruteur avec le «conteur du mois» Mathieu Lippé. Fusionnant musique, gestuelle et poésie, le jeune conteur originaire du Bas-du-Fleuve présentera son spectacle L’important, c’est ça qui conte! les 1er et 8 mai. Transporté par les airs jazzés du quartette estrien Vizzaj, ce spectacle explore les limites du récit et du son. Ensuite, les 15, 22 et 29 mai, place au tout nouveau spectacle L’Épopée d’un poteau.»

M.Pietracupa, Voir (Montréal), 28 avril 2005

La chaleur des mots

«En banalisant la parole, la télévision l’a tuée. À lui seul, le livre ne peut restituer la chaleur physique des mots. Voilà ce que pensent un nombre surprenant de gens, très souvent à l’insu des médias et de l’arrière-garde littéraire. Chaque dimanche soir, jusqu’à 200 personnes se rendent au bar montréalais Le Sergent recruteur pour y écouter des contes et de la poésie»

Michel Lapierre, Ici (Montréal), 17 février 2005

Des histoires pour faire rire aux larmes

«Le petit endroit était plein à craquer d’au moins une bonne soixantaine de personnes. Dont quelques Acadiens qui se sont manifestés avec enthousiasme. Il s’agissait de la lancée des Parlures d’Acadie, et ce, dans le cadre des Dimanches du conte à Montréal. Habituellement, ces soirées ont lieu au Sergent recruteur. Mais comme le bar fait peau neuve en ce moment, elles se sont déplacées, pour le mois de février, dans le sympa Cabaret du Roy, qui nous ramène à une autre ère. On a pu être témoin de la complicité de quatre conteurs qui se sont rencontrés à la deuxième Nuit internationale du Conte en Acadie (NICA 2003). Dominique Breau, de Pont-Landry, Myriame El Yamani, de Madran, Nelson Michaud, de Dalhousie, et Alfred Léger, des Colonies Belledune, sont venus habiter la petite scène pour nous conter, dans un vieux français, des «énormités» acadiennes… et nous faire sourire, rigoler, rire aux larmes. »

Sabin Desmeules, L’Acadie nouvelle, 8 février 2005

Populaire, le conte !

«Les Dimanches du conte attirent les foules au Sergent recruteur, microbrasserie du boulevard Saint-Laurent, un soir par semaine, depuis 1998. Une réussite spectaculaire ! Entreprise à laquelle nul ne croyait au début. Les initiateurs, Jean-Marc Massie et André Lemelin avaient pourtant vu juste (…) En tournée dans les Maisons de la culture et les cégeps de la région de Montréal avec le spectacle L’incroyable odyssée du Sergent recruteur, quatre conteurs de la première vague du Sergent, Claudette L’Heureux, François Lavallée, Massie et Lemelin, portent la parole vivante auprès des jeunes, dont l’écoute attentive surprend. En y adjoignant le concours Conteur d’avenir, qui s’adresse aux étudiants, on souhaite assurer la relève.»

Raymond Bertin, Elle Québec, Mars 2005

Le retour de la mémoire

«Pendant que l’obscurité s’installe dans les rues de Montréal et que le froid et la pluie défigurent ce dimanche d’octobre, une foule enthousiaste et attentive s’engouffre dans un bar de la rue Saint-Laurent pour assister à une soirée de contes. Une tradition que l’on croyait disparue à la suite de l’échec du référendum de 1980 mais qui gagne en popularité depuis 1998, année des premiers Dimanches du conte du Sergent Recruteur (…) Un succès qui ne se dément pas grâce, entre autres, à une clientèle jeune.»

Robert Laplante, La Presse, 18 octobre 2004 PASSER LE FEU DU CONTE «…depuis quelques années, les soirées, festivals et événements tournant autour du conte, ont proliféré en nos contrées (…) Au Québec, Petronella Van Dijk estime que les soirées de conte, qui se déroulent au bar, le Sergent recruteur, ont entraîné la formation de toute une génération de jeunes conteurs, Fred Pellerin en tête.»

Caroline Montpetit, Le Devoir, 16-17 octobre 2004

Les dimanches du conte : c’est reparti !

«Les Dimanches du conte ont repris de plus belle pour une 7e saison au Sergent Recruteur. Comme si ce n’était pas assez, quatre conteurs vétérans de ces soirées (Jean-Marc Massie, André Lemelin, Claudette L’Heureux et François Lavallée) partiront cet automne en tournée au Québec pour répandre la bonne nouvelle avec Le Cabaret des Dimanches du conte. Dans la plus pure tradition de ces soirées, le Cabaret relatera l’histoire de la Nouvelle-France à travers l’étrange destin du sergent recruteur …»

M.Hamelin, Voir (Montréal), 16 septembre 2004

Contes du haut-du-fleuve

«Simon Gauthier, Simon-du-fleuve pour les intimes, est un conteur plus grand que nature. Tous les dimanches de mai, il envahit – et conquiert – la petite salle du Sergent recruteur. Âge moyen : le soir où j’y étais, entre 20 et 30 ans (…) une fois en spectacle, le conteur, qui ne donne déjà pas sa place en entrevue, prend la salle d’assaut et la rive à son récit. À la fin du spectacle, le présentateur du Sergent Recruteur demandait aux gens de revenir le dimanche suivant avec «des tam-tam et des percus, pour le show de Simon». Ça va être le party !» Vrai comme chu là !»

Anne-Marie Cloutier, La Presse, 22 mai 2004

Une trêve imposée

«Contes et histoires revivent dans la métropole comme un baume sur nos âmes d’éternels enfants (…) «Le renouveau du conte s’inscrit dans quelque chose de plus large qui touche aussi la musique traditionnelle, comme celle que La Bottine souriante a remise sur la map il y a quelques années» explique l’animateur et conteur aux Dimanches du conte, Jean-Marc Massie, qui, chaque soirée dominicale, au Sergent recruteur, une brasserie artisanale du boulevard Saint-Laurent, anime ces soirées devant quelque 200 personnes»

Claudia Larochelle, Le Journal de Montréal, 21 février 2004

Des histoires à raconter

«Au mois de septembre dernier, Les Productions du Diable Vert célébraient les cinq ans d’existence des Dimanches du conte en lançant le livre-disque anniversaire Les Dimanches du conte. Déjà 5 ans ! La mission de ce groupe de conteurs associés à ces soirées … est de moderniser le genre du conte, tout en préservant son côté traditionnel, à la base de sa définition. En plein coeur de la ville, de la métropole, les histoires s’urbanisent, sortent des campagnes, mais traînent toujours avec elles ce qui faisait le propre de la mythologie populaire et rurale, mélangeant l’oralité à la textualité, la théâtralisation du texte et sa saisie sur papier et sur disque, le passé et le progrès, le corps et la technologie, le merveilleux et le savoir.»

Nicolas Tremblay, Lettres québécoises, N°112, hiver 2003

Ça conte et raconte par chez nous

«Depuis 1998, les Dimanches du conte, présentés à la microbrasserie du Sergent recruteur et menés par l’animateur-Conteur Jean-Marc Massie, sont devenus le happening hebdomadaire le plus couru en ville (…) Pépinières de nouveaux talents, le Sergent, d’autre part, attire un public dans la vingtaine surtout …»

Pierre Luc, Allô-Vedettes, 17 janvier 2003

Les uns les autres et pierre luc

«Le conte explose au Québec. Les jeunes nourris de science-fiction et de fantastique se lancent dans ce genre encore négligé il n’y a pas longtemps. Il faut aller au bar Le Sergent recruteur, à Montréal, tous les dimanches, pour se rendre compte de ce regain extraordinaire s’enthousiasmait Faubert …»

Pierre Luc, Allô-Vedettes, 8 novembre 2003

Les conteurs du sergent recruteur

«Pour le cinquième anniversaire de leurs rencontres au pays des Satans en costard trois pièces, les conteurs de la petite brasserie du boulevard Saint-Laurent se réunissent pour la dernière fois … ce livre vaut le détour. Comme quoi la culture orale tente de rejoindre de plus en plus, presque ironiquement, le marché de la lecture. Bien que le disque l’accompagnant, bercé de superbes musiques, rende l’âme du conte avec, entre autres, l’égouïne de Nicolas Letarte, rien ne vaut la voix d’un conteur qui résonne sur les planches des murs»

Maxime Catellier, Ici (Montréal), 2 au 8 octobre 2003

Contes pour tous

«L’idée d’instaurer des soirées de contes sur une base hebdomadaire paraissait saugrenue en 1998 … Le conte avait bien son heure de gloire deux ou trois fois par année par le biais d’un festival, d’un Michel Faubert … Mais tout ça demeurait très ponctuel, jusqu’à ce que Jean-Marc Massie et André Lemelin soient assez fous pour créer les Dimanches du conte à la microbrasserie du Sergent recruteur … Et ça a marché, marché très fort, et ça marche encore […] Le livre-CD Les Dimanches du conte  marquant les cinq ans de ces soirées … témoigne bien de cette réussite.»

Stéphane Despatie, Voir (Montréal), 2 au 8 octobre 2003

Contes pour tous

«Comme tous les dimanches depuis cinq ans, une foule nombreuse s’entasse au bar Le Sergent recruteur … Sur deux étages, sirotant le houblon artisanal de la maison, quelque 200 personnes attendent les premières intonations de la soirée. C’est ici, en avril 1998, que des conteurs et conteuses de toutes la province ont commencé à donner un sérieux coup d’accélérateur au renouveau de la tradition orale [ …] Au Québec, les endroits qui offrent une tribune aux conteurs se multiplient … le plus connu à Montréal demeure Le Sergent recruteur et ses dimanches du conte …»

Alec Castonguay, Voir (Montréal), 27 mars au 2 avril 2003

Performances orales

«Comme les politiciens (surtout en période électorale), les conteurs professionnels gagnent leur vie en racontant des histoires. Les meilleurs d’entre eux se donnent rendez-vous le jour du Seigneur au Sergent recruteur […] Le Sergent recruteur, c’est un peu le siège social montréalais des conteurs québécois»

Jean-Yves Girard, Le Devoir, 7 mars 2003

Le renouveau du conte

«Depuis quelques années, ce genre tombé en désuétude connaît un regain de vie sans précédent. Dépoussiéré, actualisé, le conte est de toutes les tribunes [ …] les Dimanches du conte de la microbrasserie Le Sergent recruteur ont remis le conte au goût du jour, favorisant un profond renouveau dans la forme autant qu’une diffusion plus large.»

Tristan Malavoy-Racine, Voir (Montréal), 15 au 21 novembre 2001

Locaux loquaces

«Au bar, Le sergent recruteur, les Dimanches du conte font salle comble depuis leur création en 1998 […] La clientèle fidèle aux Dimanches du conte est en majorité constituée d’étudiants dans la vingtaine. Selon Luc Desnoyers, 30% du public se renouvelle chaque semaine. La qualité d’écoute y est extraordinaire. On entendrait une mouche voler !»

Sara-Emmanuelle Duchesne, Montréal campus, 12 septembre 2001

Le conte, vidéoclip de l’esprit

«Récemment, une communauté de conteurs montréalais a revigoré le style chez nous. Attirant de plus en plus d’intéressés, ils se sont manifestés au Sergent recruteur»

Philippe Renaud, La Presse, 9 novembre 2000

Ilétait une fois … les conteuses

«C’est dimanche de contes au bar Sergent recruteur, à Montréal. Murs de vieilles pierres, chaises de bois qui craquent, éclairage tamisé, conversations feutrées et musique vaguement planante : même entre les prestations des conteurs, l’ambiance est à la magie […] Chaque dimanche, l’établissement de la rue Saint-Laurent fait d’ailleurs salle comble. Faute d’un nombre suffisant de sièges, les derniers arrivants s’appuient contre les murs ou squattent l’escalier. Têtes grises et jeunes hippies échangent sourires et commentaires autour d’une bière maison … Ici le mélange des générations comme des cultures est recherché»

Dominique Reny, Femme plus, février 2000

Le diable, c’est l’étranger !

«Les contes et légendes reviennent à la mode. À la taverne du Sergent recruteur à Montréal on doit enlever les tables le dimanche soir pour mettre plus de chaises : les conteurs sont de plus en plus populaire»

Louise Cousineau, La Presse, 13 janvier 2000

Le retour du conte

«La littérature du siècle prochain sera-t-elle orale, comme elle l’était à l’origine? L’art du conte, en tout cas, effectue un retour manifeste. Chaque dimanche, au bistrot Le Sergent recruteur, à Montréal, on écoute au chaud, comme dans l’temps, les meilleurs conteurs modernes»

Sophie Gironnay, L’Actualité, 15 octobre 1999

Franc succès sur le plateau

«Tous les dimanches, au bar Sergent recruteur, des conteurs entraînent une salle comble dans une chasse pittoresque à la baleine ou encore turlutent l’air du meunier pour emporter la foule dans une chasse-galerie des plus homériques […] Les dimanches du conte attirent chaque fois de 100 à 150 personnes. Lors du premier anniversaire, le 4 avril dernier, ce sont plus de 200 individus qui ont rempli à craquer le bar du 4650 boulevard Saint-Laurent.»

Marie Christine Bergeron, L’Express du Plateau, 5 mai 1999

De jolis contes du dimanche

«En un certain lieu, le dimanche, depuis un an très exactement, la parole est à eux. Par la seule force du verbe, ils transportent une foule de plus en plus nombreuse et bigarrée au pays des fables et des histoires à dormir debout. Sacrés conteurs ! [ …] Au bar du Sergent recruteur, quelque part sur la Main, voilà maintenant une année que ces conteurs nouvelle vague se font entendre gratuitement le Jour du Seigneur […] Au début, ils ont bien fait la manchette dans la catégorie insolite, mais là, il semble qu’ils veuillent s’incruster : il y a que le genre plaît. De plus en plus.»

Dominique Lachance, Journal de Montréal, 2 avril 1999